L'empreinte: Je m'appuierai si bien et si fort à la vie, D'une si rude étreinte et d'un tel serrement, Qu'avant que la douceur du jour me soit ravie Elle s'échauffera de mon enlacement. La mer, abondamment sur le monde étalée, Gardera, dans la route errante...
Lire la suitepoesie
Complaintes du Progrès
La Complainte du Progrès: Autrefois pour faire sa cour On parlait d'amour Pour mieux prouver son ardeur On offrait son cœur Maintenant c'est plus pareil Ça change, ça change Pour séduire le cher ange On lui glisse à l'oreille : - Ah, Gudule! Viens m'embrasser...
Lire la suiteVoeu, V.HUGO
Voeu Victor Hugo Si j’étais la feuille que roule L’aile tournoyante du vent, Qui flotte sur l’eau qui s’écoule, Et qu’on suit de l’oeil en rêvant ; Je me livrerais, fraîche encore, De la branche me détachant, Au zéphyr qui souffle à l’aurore, Au ruisseau...
Lire la suiteA Aurore
Autre poème, magnifique de Georges SAND A Aurore, La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui...
Lire la suitePoème de Pablo NERUDA
Poème engagé de Pablo NERUDA: (version originale) Generales traidores : mirad mi casa muerta mirad España rota. pero de cada casa muerta sale metal ardiendo en vez de flores, pero de cada hueco de España sale España, pero de cada niño muerto sale un fusil...
Lire la suiteL'ombre des arbres
Aujourd'hui, Hommage à un grand poète: Paul Verlaine "L'ombre des arbres dans la rivière embrumée Meurt comme de la fumée, Tandis qu'en l'air, parmi les ramures réelles, Se plaignent les tourterelles Combien, ô voyageur, ce paysage blême Te mira blême...
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